Aujourd’hui, la structuration d’un plan de financement climatique est d’une urgente nécessité. Les conséquences irréversibles du réchauffement climatiques se font de plus en plus sentir à l’échelle mondiale : disparition des espèces, catastrophes naturelles, montée des eaux, pauvreté, migrations, perte de récoltes, des mots qui resonnent aux quatre coins du globe. Une situation qui donne a ce sommet sa pertinence, dès lors que sont inscrits à l’ordre du jour, les thématiques idoines que sont la promotion de coopérations scientifiques sur les forêts tropicales, le développement de chaines de valeur durables et la mise en œuvre de mécanismes de financements nouveaux.
Du choix du Gabon : Depuis plus d’une décennie, le Gabon se prépare à l’après-pétrole en adoptant un modèle économique alliant développement industriel et gestion durable. Le pays est un exemple parfait par son engagement et sa politique de préservation de la biodiversité. Il regorge en plus, de forêts primaires, de mangroves, de tourbières, ainsi que des espaces qui représentent à l’échelle mondiale 15 % de la surface du globe, soit 75 % du carbone de plus de 90 % des espèces vertébrées. Ce qui participe à contenir le réchauffement climatique et sauver notre biodiversité. En novembre 2022, Son Excellence Monsieur le Président de la République Ali Bongo Ondimba, avait relevé la typologie du Bassin Ogooué Congo qui stocke près de dix ans d’émissions mondiales de carbone.
Avec des forêts costaudes, c’est-à-dire plus résistantes au changement climatique que les autres grands bassins forestiers, ce qui en fait le poumon le plus sain de la planète.
Le Président Ali Bongo Ondimba : Un homme engagé pour porter la lutte contre le changement climatique au sein du Bassin Ogooué Congo, souvent appelé le deuxième poumon de la planète.
